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jeudi 5 mai 2016

Conférence Richard Stallman à Choisy le Roi

Pour une société numérique libre

La qualité de la vidéo et son sont très bons. La conférence dure 2 heures, dans un français très correct, bien préparée.La conférence, si elle a été enregistrée (cela demande encore des efforts) sera probablement disponible une fois la vidéo encodée.
Lien vers la vidéo si elle n'est pas visible 
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Actualité

Ubuntu 16.10 Yakkety Yak n'utilisera toujours pas Unity 8 et Mir par défaut

Canonical a profité de la conférence Ubuntu Summit pour donner plusieurs informations importantes au sujet de la future version de sa distribution. Ubuntu 16.10 n’utilisera ainsi pas Unity 8, pas plus que le nouveau serveur d’affichage Mir. La transition prend décidément du temps.
Maintenant qu’Ubuntu 16.04 est disponible, Canonical prépare le terrain pour la mouture 16.10, prévue évidemment pour octobre prochain et se nommant Yakkety Yak. La société organise actuellement l’Ubuntu Online Summit (du 3 au 5 mai), l’occasion bien sûr de donner des informations sur un renouvellement d’automne que beaucoup attendaient impatiemment. Et pour cause, le Yak devait basculer sur Unity 8 et le serveur d’affichage Mir.

Ni Unity 8, ni Mir par défaut

Le changement était d’ampleur. Unity, l’environnement de bureau par défaut de Canonical, s’avance en effet vers une expérience unifiée qui doit permettre à Ubuntu d’être plus adapté à l’ensemble des appareils auxquels il se destine. Il s’agit très clairement d’un mouvement façon Windows 10, l’ergonomie globale prenant en compte automatiquement des critères tels que la taille de l’écran.
Mais Unity 8 ne sera pas prêt, ou du moins pas considéré comme suffisamment avancé pour être utilisé comme environnement par défaut dans Ubuntu 16.10. Une annonce qui en décevra plus d’un, et ce d’autant plus que cette version est en développement depuis maintenant trois ans. Dans la foulée, Canonical a également annoncé que le serveur d’affichage Mir ne serait pas présent non plus, laissant les utilisateurs avec X.org (Canonical ne veut pas de Wayland).

Encore du retard pour la convergence

Il s’agit donc d’un nouveau retard puisque Unity 8 était initialement prévu pour Ubuntu 16.04. Canonical avait cependant expliqué que s’agissant d’une mouture LTS (Long Term Support), il était délicat d’introduire d’aussi gros changements, remettant alors la bascule à la mouture suivante de la distribution. Unity 8 et Mir étant des composants clés dans la vision de Canonical sur la convergence, celle-ci réclamera donc un peu plus de temps. Il faut désormais tabler sur Ubuntu 17.04 minimum pour assister au grand changement, même si Unity 8 et Mir restent des composants installables optionnellement, ne serait-ce que pour les tester.
Durant la conférence d’ouverture, l’ingénieur Will Cooke a indiqué qu’il s’agissait d’une question de qualité et de peaufinage, suggérant que le code ne serait pas assez robuste d’ici six mois environ. Autrement dit, il s’agit d’un chantier bien plus vaste et complexe que ce qui avait été précisé par le passé.




Linux est plus rapide que Windows et c’est un développeur Microsoft qui le dit !


 
 On le savait déjà mais un présumé développeur Microsoft vient le confirmer avec précision : GNU/Linux est plus rapide que Windows.
Et les raisons qu’il avance font que cela semble difficilement réversible…
Remarque : Le développeur reste anonyme donc le doute subsiste, sur son identité pas sur la lenteur de Windows ;-)





Consultez la source | Article initialement publié sur Framablog 

Distribution


Capacité de multiarchitecture
 
L'un des principaux objectifs de publication pour # Wheezy est qu'il permet aux utilisateurs # Debian de pouvoir installer des paquets à partir de plusieurs architectures sur la même machine, aussi connu comme support "multiarch". "Cela signifie que vous pouvez maintenant,  et pour la première fois, installez 32 - logiciel et 64-bit sur ​​la même machine et avoir toutes les dépendances pertinentes correctement résolus, automatiquement", a expliqué l'équipe de projet.


Cinq choses à dire sur Debian 7.0 «Wheezy»

Après plus de deux années de développement, le projet Debian a publié samedi la tant attendue version 7.0 de sa distribution Linux vénérable.

Nom de code «Wheezy», la nouvelle version apporte plusieurs nouvelles fonctionnalités intéressantes, y compris un installateur amélioré, support multi-architectures, des outils de déploiement de clouds privés, et un ensemble complet de codecs multimédia et bloc avant qui éliminent la nécessité de dépôts tiers.

Maintenant, occupant la place n ° 5 sur DistroWatch, Debian réside toujours dans le top-10 de la liste du site de classement Page touchées. Le logiciel est disponible en téléchargement gratuit à installer ou à prendre pour un essai routier. Voici un petit échantillon de quelques-unes des principales nouvelles améliorations.



1. plus grande accessibilité

Installer Debian est maintenant plus facile que jamais, grâce à un nouveau programme d'installation qui offre une meilleure accessibilité ainsi que d'autres avantages. Le système d'installation est disponible en 73 langues et plus d'une douzaine d'entre eux sont disponibles pour la synthèse de la parole ainsi.

"Debian peut maintenant être installé en utilisant la parole de logiciels, surtout par des personnes ayant une déficience visuelle qui n'utilisent pas un dispositif Braille», l'équipe du projet a expliqué dans le communiqué de presse officiel.


2. Support UEFI

En outre, avec la version 7.0, Debian supporte la première installation et le démarrage en utilisant le Unified Extensible Firmware Interface (UEFI) pour les nouveaux PC 64 bits (amd64). "Secure Boot" n'est pas encore supporté, cependant.


3. Capacité de multiarchitecture

L'un des principaux objectifs de publication pour Wheezy est qu'il permet aux utilisateurs de Debian pour installer les paquets de multiples architectures sur la même machine, aussi connu comme le soutien "de multiarch". "Cela signifie que vous pouvez maintenant, pour la première fois, installez 32 - logiciel et 64-bit sur ​​la même machine et avoir toutes les dépendances pertinentes correctement résolus, automatiquement", a expliqué l'équipe de projet.


4. Une série de paquets mis à jour

Parmi les nombreux nouveaux paquets mis à jour dans Debian 7.0 sont Linux 3.2, GNOME 3.4, KDE 4.8.4, GIMP 2.8.2, LibreOffice 3.5.4, Apache 2.2.22, MySQL 5.5.30, 3.6.6 et Samba. Également disponibles sont plus de 36.000 autres prêtes à utiliser les logiciels, les notes de projet.


5. Support matériel large

Last but not least, il est intéressant de noter que «vous pouvez installer Debian sur des ordinateurs allant des systèmes portatifs de supercalculateurs, et presque tout le reste», comme l'équipe du projet met. Plus précisément, un total de neuf architectures matérielles sont prises en charge dans cette version de Debian, y compris les PC 32 bits / Intel IA-32 (i386), PC 64 bits / Intel EM64T/x86-64 (amd64), Motorola / IBM PowerPC (powerpc ), Sun / Oracle SPARC (sparc), et Intel Itanium (iA64).
 



Distribution dérivé d'UBUNTU: 

Elementary OS LUNA


vendredi 20 novembre 2015

documentaires à voir

Nom de code Linux  

Nom de code Linux est un film documentaire réalisé par Hannu Puttonen en 2002. Il retrace l’histoire des mouvements GNU, Linux et des logiciels libres. On y retrouve l’interview des plusieurs personnalités de l’informatique telle que Richard Stallman, Linus Torvalds, Eric Raymond…
La phrase à retenir:  » Ce serait peut-être l’une des plus grandes opportunités manquées de notre époque si le logiciel libre ne libérait rien d’autre que du code.  »

Révolution OS

Révolution OS est un documentaire réalisé par J.T.S Moore en 2001 qui parle de la naissance et l’évolution du système d’exploitation GNU/Linux. Dans les personnalités présentes dans le documentaire, on retrouve: Richard Stallman, Linus Torvalds, Eric Raymond, Michael Tielmann…
La phrase: « Le projet GNU tout entier est vraiment un gros hack. C’est un acte fort d’ingéniosité subversive et espiègle pour rendre la société meilleure  » Richard Stallman

Une contre-histoire de l’internet

Documentaire français de Sylvain Bergère diffusé pour la première fois sur ARTE en mai 2013. Ce documentaire porte un regard original sur l’histoire de l’internet en interrogeant ceux qui ont été acteur de cette grande aventure. Documentaire à voir absolument!

L’histoire interdite du piratage informatique

Documentaire de Ralph Lee datant de 2009. Ce film suit les parcours de John Draper, pionnier du piratage informatique, et de Kevin Mitnick, le pirate informatique le plus recherché dans les années 80

vendredi 5 juin 2015

Debian 8 Jessie : installation pas à pas


Debian 8 Jessie : installation pas à pas

Cet article décrit l’installation pas à pas de la distribution GNU/Linux Debian 8 Jessie.
L’idée de cet article est d’apporter une aide aux débutants sur l’installation de Debian.
Les étapes décrites dans l’article ne concernent que celle qui demandent une intervention humaine. Pour l’installation, j’ai récupéré l’ISO net-install en 64 bits et j’ai utilisé Proxmox comme support.

Téléchargement et création d’une clé USB bootable

  • Téléchargement de l’ISO :

cd /tmp
wget -c http://cdimage.debian.org/debian-cd/8.0.0/amd64/iso-cd/debian-8.0.0-amd64-netinst.iso
Pour se créer une clé USB bootable ( en suposant que la clé USB est détecter comme /dev/sdb) :

dd if=/tmp/debian-8.0.0-amd64-netinst.iso of=/dev/sdb bs=4M && sync

Debian 8 : installation pas à pas

Choisir le mode d’installation en mode cli ou graphique (pour l’article, j’ai choisi l’installation graphique)  

  •  Choix de la langue :


  •  La localisation géographique :

  •  Configuration du clavier :


  • Configuration réseau :

Si la Debian est branchée sur un réseau disposant d’un serveur DHCP, vous pouvez cliquer sur « Continuer » en choisissant un nom de machine et aller directement à l’étape « Configurer le réseau : Domaine« . Sinon cliquer sur « Revenir en arrière ».



  • Configurer le réseau : cliquer sur « Configurer vous-même le réseau ».

    •  Saisir une adresse Ip :


    • Le masque de sous réseau :



  • La passerelle :

  • deb10

  • Le serveur DNS :

  • deb11

  • Choisir un nom de machine :

  • deb12

  • Choisir un domaine pour cette machine, ou sinon laisser vide :

  • deb13

  • Saisir un mot de passe pour le compte root :

  • deb14

  • Créer un utilisateur :

  • deb15

  • Choisir l’identifiant pour la connexion :

  • deb16

  • Créer un mot de passe pour cet utilisateur :

  • deb17

  • Partitionnement du disque, saisir « Assisté – utiliser un disque entier » :

  • deb18

  • Sélectionner le disque :

  • deb19

  • Choisir comment partitionner le disque, je conseil vivement de créer une partition /home séparée :

  • deb20

  • Récapitulatif du partitionnement choisi :

  • deb21

  • Lancer le partitionnement du disque :

  • deb22

  • Choisir la localisation d’un serveur miroir, ici « France » :

  • deb23

  • Choisir un miroir, en évitant de prendre le premier :

  • deb24

  • Si pas de proxy, laisser vide son saisir l’url et le port du proxy :

  • deb25

  • Choisir oui ou non sur le choix d’envoyer anonymement des statistiques sur les paquets utilisés :

  • deb26

  • Choisir les logiciels à installer. Pour un serveur, seul le serveur SSH est utile. Pour une utilisation bureautique, choisir votre environnement préféré :

  • deb27

  • Installation du Grub :

  • deb28

  • Choisir ou sera installer le Grub, ici sur le premier disque :

  • deb29

  • Pour terminer l’installation, cliquer sur Terminer :

  • deb30
    Et une fois l’installation terminée, cliquer sur redémarrer.

    Source

    jeudi 2 avril 2015

    Debian/Ubuntu : installer et configurer un serveur NFS



    Un petit mémo pour mes besoins sur comment installer et configurer un serveur NFS(Network File System) sous Debian ou Ubuntu. Ce serveur, dans mon cas aura la fonction de support physique pour mes machines virtuelles sous Proxmox.
    Dans cet article, il sera décrit l’installation et la configuration d’un partage NFS pour deux nœuds Proxmox (Ip_node1 & IP_node2) pour l’hébergement des machines virtuelle dans le cadre de la mise en place d’un cluster de haute disponibilité (qui sera traitée dans un futur article).
    Pour rappel un serveur NFS a pour fonction d’offrir un espace de partage sur un réseau TCP/IP pour un ou plusieurs clients.

    Installation d’un serveur NFS sous Debian/Ubuntu

     

    Toutes les commandes sont exécutées en tant que root.
    • Mettre à jour le serveur :
    apt-get update && apt-get upgrade
    • Installation des paquets :
    apt-get install nfs-kernel-server nfs-common

    Configuration du serveur NFS

    • Création du répertoire partagé :
    mkdir /home/proxmox
    • Configuration du partage NFS :
    nano /etc/exports
    • C’est ici, qui est indiqué ce qui est partager sur quel client et avec quel droit :
      /home/proxmox IP_node1(rw,no_subtree_check,sync,no_root_squash) IP_node2(rw,no_subtree_check,sync,no_root_squash)
      • rw : les clients ont les droits d’écriture (w) et de lecture (r) sur le partage NFS.
      • sync : synchronisation des données entre le client et le serveur.
      • no_subtree_check : Pas de vérification des droits d’accès dans les sous répertoires.
      • no_root_squash : cette option est seulement nécessaire pour les clients sans disque, ce qui est mon cas avec la configuration de Promxox.
      Pour plus d’infos, lire le manuel.
    • Relance du service nfs-kernel-server pour la prise en compte des modifications :
    service nfs-kernel-server restart

    Paramétrage du partage NFS sur le client

    Ajout du partage NFS sur Proxmox

    • Cliquer sur « Centre de données » -> onglet « Stockage » -> bouton « Ajouter » :

    nfs-01
    • Sélectionner « NFS » :
    nfs-023
    • Renseigner les champs et cliquer sur « Ajouter »:
      nfs-03
      • ID : indiquer un nom unique du nouveau stockage.
      • Serveur : indiquer le nom DNS ou l’adresse IP du serveur NFS.
      • Export : indiquer le partage NFS.
      • Contenu : choisir les contenus qui seront sur le partage NFS( dans mon cas : Image disque, sauvegarde et ISO)
    • Le partage NFS est accessible sur les deux nœuds Proxmox :
    proxmox-04

    Dans le cas d’un serveur « classic »

    Les actions sont effectuées sur le serveur client.
    • Test manuel du montage du partage NFS :
    mount -t nfs IP_node1:/home/proxmox /home/proxmox
    • Edition du fichier fstab pour le montage automatique du partage NFS au démarrage du serveur client :
    nano /etc/fstab
    IP_serveur-NFS:/home/nfs /home/nfs nfs rw 0 0

    mercredi 1 avril 2015

    Tuto XBMX Live

    Je vous propose un tuto pour installer n'importe quelle version de XBMC Live sur une clé USB facilement. Pourquoi ne pas faire une installe traditionnel depuis le Xbmc Live ? Car l'installation depuis le Live CD est 10X plus longue pour copier les fichiers sur une Clé USB et moins rapide au boot. De plus avec cette méthode il est possible que toutes les modifications que vous allez apporter seront prise en compte même après reboot, exemple l'ajout du WIFI ect... Matériel et outils requis: Le Logiciel UNetBootin ( Gratuit ) Un système compatible avec le logiciel : Windows XP, 2000, 7 Une clé USB de 2 Go: Formater en FAT32 La dernière version de XBMC Live : Dharma 10.0 Le fichier modifié par moi même: syslinux.cfg Le logiciel Toporesize-0.7.1 Le tuto vidéo: Une fois le transfert sur la clé usb fini, quittez le logiciel UNetBootin. Ouvrir le poste de travail, sélectionnez votre clé USB et remplacer le fichier: syslinux.cfg par celui que vous avez téléchargé juste avant. Ensuite il faut décompresser le le logiciel toporesize-0.7.1.zip, une fois à l'intérieur du répertoire vous double clicker sur le fichier qui est indiqué par la flèche rouge. Une fois le logiciel ouvert, vous allez créer un répertoire sur votre bureau et vous le nommé : XBMC Ensuite sur le logiciel Toporesize vous allez cocher create new et enregistrer le fichier que vous allez nommé live-rw dans le répertoire XBMC qui se trouve sur votre bureau. Une nouvelle fenêtre apparait, il faut régler la taille via le curseur (200Mo suffisent) pour votre futur fichier qui vous permettra d'enregistrer vos modifications. ( voir flèche rouge ) et clicker sur create file Ensuite sélectionnez ext2 ou ext3 et faite ok Une fois que vous voyez plus formating c'est que votre fichier a était créé Maintenant vous allez renommé le fichier que vous venez de créer. Il faut enlever l'extension .img et laisser juste live-rw. Si vous ne pouvez pas voir le .img, il faut le faire apparaitre via option de dossiers. Il faut décocher la casse que la flèche rouge indique. Pour finir, vous allez copier le fichier live-rw à la racine de votre clé USB. Voilà, vous avez un XBMC Live USB entièrement capable d'enregistrer les modifications que vous allez lui apporter. Beaucoup de personnes ont des problèmes pour monter les partitions de leur HDD interne avec XBMC Live. Moi par exemple dans mon média center j'ai installer Ubuntu 11.04 pour pouvoir naviguer, lire mes mails , télécharger... Et quand je boot sur ma clé USB XBMC Live, je ne peux pas voir le HDD pour visionner mes films. Je viens de mettre à jour le fichier: syslinux.cfg que je propose en téléchargement au début du tuto. Pour les personnes qui ont déjà créer leur clé USB, il faut simplement remplacer le fichier syslinux.cfg par le nouveau. Maintenant vous pouvez voir votre HDD. source

    vendredi 5 décembre 2014

    Thunderbird


    Thunderbird


    Thunderbird est un client de messagerie qui peut compléter ou remplacer utilement Outlook Express ou Windows Mail. Il vous permet de recevoir, rédiger et envoyer des e-mails ( courriels ) depuis votre PC.Vous pouvez le télécharger l'installer gratuitement sur tous les PC. Comme tous les logiciels e-mails, il est nécessaire de configurer Thunderbird pour qu'il récupère vos e-mails sur le site internet (serveur pop) de votre fournisseur d'accès (FAI). Il dispose d'un carnet d'adresse intégré qui vous permet de rassembler vos contacts. Par ailleurs, Thunderbird propose des fonctionnalités pratiques pour un usage professionnelle : les étiquettes, le tri automatique des e-mails....

    Installation et téléchargement
    Le téléchargement est à faire depuis le site officiel :
    Thunderbird



    Créer un compte email avec Thunderbird

    Vous allez maintenant découvrir Thunderbird, si c'est la première utilisation, et,aucun compte n'est configuré, une fenêtre va s'ouvrir au démarrage pour vous permettre d'y remédier. Sinon, cliquez sur Fichier -> Nouveau -> Compte courrier.

    Cliquez sur Continuer puis, attendre que Thunderbird cherche votre adresses POP ou IMAP et SMTP de votre fournisseur d'adresse mail. Car Thunderbird dispose d'une base de données très complète avec les adresses POP, IMAP et SMTP de chaque fournisseur.



    Cliquez ensuite sur Créer le compte. Thunderbird vérifie votre mot de passe en essayant de se connecter à votre compte.
    Nous voici donc dans le volet principal de Thunderbird :

                                 

    • En haut, vous avez un menu des plus basiques comme dans chaque logiciel. Vous avez dessus les fonctions principales d'un logiciel de messagerie : relever le courrier, écrire, voir les contacts et étiquette, nous reviendrons sur cette dernière option.
    • Dans le panneau de gauche, vous avez la liste des comptes avec les dossiers de chacun d'entre eux.
    • Dans la fenêtre principale, vous avez la liste de vos messages dans la partie d'en haut, et l'aperçu du message sélectionné dans la partie d'en bas.
    Les dossiers contenants des nouveaux mails ou flux d'actualités sont en gras et de couleur bleue. Vous avez sûrement remarqué qu'il y a peu de dossiers, c'est normal les dossiers qui n'ont jamais été utilisés ne s'affichent pas. Lorsque vous aurez enregistré un message dans vos brouillons, lorsque vous recevrez du spam ou encore lorsque vous enverrez un mail, les dossiers "Brouillons", "Indésirables" et "Envoyés" apparaîtront.

    Téléchargement de tutoriel à l'utilisation de Thunderbird par Framasoft en PDF